ELIAN JOUGLA
ENSEIGNANT PÉDAGOGUE
AUTEUR, COMPOSITEUR & ARRANGEUR

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CLAVIERS VINTAGE DES ANNÉES 70/80, PIANO ET SYNTHÉTISEUR


Voici de vieilles photos de matériel vintage à découvrir ou à redécouvrir. Des synthés et autres périphériques que j'ai utilisés en studio ou sur scène.

Home-studio (photo Elian Jougla)

Sur cette photo de mon second home-studio, vous pouvez voir le premier clavier échantillonneur avec lequel j'ai travaillé, le S50 de chez Roland. Un bon clavier avec lequel j'ai réalisé pas mal de choses. Il disposait pour l'époque d'une petite banque de sons en RAM que l'on pouvait sauvegarder sur disquette. Le magnétophone 4 pistes Tascam, avec lequel j'ai réalisé des prouesses techniques en prise de son, ainsi que la petite table huit entrées, également de chez Tascam.

Korg Polyphonic Ensemble (photo Elian Jougla)

Vous pouvez voir le Korg Polyphonique Ensemble 2000, idéal pour faire de belles nappes de cordes. Peu de boutons en façade. Huis sonorités, pas plus, mais une polyphonie absolument totale. C'est un clavier cousin du Solina Strings Ensemble. Le prix à l'époque de sa sortie en 1977 : 8.600 Fr... Le prix d'une bonne voiture d'occasion !

DX7 de Yamaha (photo Elian Jougla)

À l'époque de sa sortie, en 1984, le DX7 de Yamaha a fait couler beaucoup d'encre dans la presse spécialisée et a provoqué des crises de nerfs chez ceux qui cherchaient à extirper des sonorités originales. L'appareil était complexe, mais la diversité de ses sonorités, la puissance de ses algorithmes semblaient être sans limites. Tous les musiciens branchés couraient après ce synthétiseur pour être parmi les premiers à l'utiliser en studio. Nous passions de l'ère du son analogique à celle du numérique. Une véritable révolution sonore était en marche !

Piano numérique Orla Dmk8 (photo Elian Jougla)

Le piano numérique Orla : que de problèmes n'ai-je pas rencontré avec ce DMK8 ! Ce clavier de commande avait, en effet, le défaut d'avoir une mauvaise masse conductrice, ce qui générait des bugs incessants.

Piano électrique Fender Rhodes (photo Elian Jougla)

Avec le piano électrique Fender Rhodes que de pianistes se sont ''cassés'' les doigts en jouant sur ce clavier, tellement les premiers modèles étaient durs. D'ailleurs, à l'époque où je l'utilisais, dans les années 70, j'étais devenu un spécialiste du réglage de la mécanique de ce diable de piano et il m'est arrivé quelquefois de l'accorder et de le régler pour d'autres pianistes.

Table de mixage Tascam (photo Elian Jougla)

La table de mixage Tascam était d'un emploi simple et efficace. Associée au magnéto quatre pistes de la même marque, ils formaient un couple qui s'entendait à merveille.

The Cat, synthé monophonique, et le Fender Rhodes (photo Elian Jougla)

Sur cette photo, vous pouvez voir le petit clavier duophonique anglais The Cat (sortie en 1977). On me l'avait prêté pour que je le teste. C'était, soi-disant, le rival du fameux synthé Minimoog au gros son bien chaud, mais malgré plusieurs heures passées à expérimenter ce petit clavier, je ne suis jamais arrivé en fait à en extraire un son digne de l'éloge qu'on lui prêtait.

Jupiter 4 de Roland (photo Elian Jougla)

Le Roland Jupiter 4 Compuphonic était un synthé analogique polyphonique à quatre voix. Malgré quelques défaillances concernant la stabilité des oscillateurs (il m'est arrivé sur scène de prendre le tournevis pour les régler), ce clavier vintage à un seul oscillateur VCO ne manquait pas de punch ni de chaleur sonore. Il est en quelque sorte le prototype du fameux synthétiseur Jupiter 8, qui sera utilisé par de nombreux groupes rock de l'époque, comme Indochine ou Level 42.

Le clavier bandoulière KX7 de Yamaha (photo Elian Jougla)

Le clavier bandoulière de commande KX7 de Yamaha possédait un clavier dont les touches étaient aussi larges, mais moins profondes qu'un clavier standard. Techniquement, il fallait donc jouer toujours avec les doigts bien arrondis, aussi bien sur les touches blanches que noires, ce qui dans la station debout, de surcroît, ne facilitait pas les choses ! L'autre particularité de ce clavier était de posséder sur son manche un pitch bend à ruban et non pas à molette. À ma connaissance, seul Moog et AKS avaient utilisé ce procédé mécanique au début des années 70.

Boîte à rythmes Korg DDD1 (photo Elian Jougla)

Aujourd'hui complètement dépassée, la boîte à rythmes Korg DDD1 qui date du milieu des années 80 a été parmi les premières drums machines à posséder une petite section d'échantillonnage incorporée. Les sonorités échantillonnées étaient bien sûr en synchronisation avec le tempo de la batterie. Un emplacement pour charger des "drums kits" (banque de sons) permettait d'augmenter les capacités sonores de l'appareil. Elle était en son temps la rivale de la Yamaha RX5.

Studio MV30 Roland (photo Elian Jougla)

Le MV30 Studio M de chez Roland est sorti en 1989, à une époque où la mode était aux appareils tout en un. Cette machine réunissait un séquenceur de 50.000 notes, 8 pistes internes, 8 pistes externes pilotables par MIDI, une table de mixage automatisée et des banques de sons issues du fameux D70 du même constructeur.

Synthétiseur SY22 Yamaha (photo Elian Jougla)

Le SY22 de Yamaha est un synthé que j'utilise encore aujourd'hui, quelquefois, pour une sonorité ou deux. Son architecture sonore rassemble dans le même appareil des échantillons PCM en 12 bits et une technologie FM à 4 opérateurs (contre 6 pour le DX7). Le fait de pouvoir mélanger les deux systèmes donne des sonorités aux "grains" tout à fait originaux. Le SY22 avait la particularité, pour l'époque (1989), de posséder une recherche aléatoire (random) d'aide à la fabrication de nouveaux sons et un bon clavier de type "ressort". Il est le maillon de départ de la série SY (viennent ensuite le SY85 et le SY99).

U220 Roland (photo Elian Jougla)

En se penchant d'un peu plus près sur le U110 de chez Roland, on s'aperçoit que cet expandeur est à la base de tout un assortiment de sonorités qui seront perfectionnées par la suite avec la série des JV, dans des morceaux à la mode des années 90. On y trouve le grain caractéristique de la marque, chaud et puissant.
Son seul problème était son souffle important provenant des convertisseurs numériques/analogiques et qui fut éliminé l'année suivante de sa sortie avec son successeur, le U220.

Ordinateur Atari et Midex de Steinberg (photo Elian Jougla)

L'ordinateur Atari 1040STE était la petite 'Rolls' des ordinateurs dans les années 80. Son coût et son avancée technologique n'avaient pas échappé à la plupart des musiciens de l'époque. L'Atari ne possédait pas de ventilateur interne ; il était donc silencieux... mais il chauffait beaucoup. Aussi, pour éviter de faire "griller" l'alimentation, certaines personnes le surélevaient pour faire circuler un peu plus d'air sous l'appareil.
Le MAC et le PC, les autres concurrents de l'époque, n'étaient pas à la hauteur : pas d'implantation MIDI et surtout un système "Dos" peu engageant. Malheureusement pour Atari, l'arrivée (peut-être trop avant-gardiste) du modèle Falcon annonça le déclin de la firme.

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